Contactez votre professionnel en traitement de l’humidité bois Guingamp, Merdrignac, Broons, Lanvollon

Un système de ventilation insuffisant, des combles peu aérés, une exposition solaire limitée… Tous ces facteurs peuvent entraîner des soucis d’humidité et favoriser l’expansion de champignons et d’insectes de divers types.

Les professionnels d’ISO TRAITEMENTS vous offrent des informations capitales sur la détection et le traitement de la mérule, du coniophore des caves et des insectes xylophages.

Comment détecter la présence des champignons ?

Avides des environnements humides, les champignons lignivores sont très répandus en France, particulièrement en région bretonne.

Comment reconnaître la présence de mérule ?

Il peut s’écouler plusieurs années avant que la mérule ne se développe pleinement à l’intérieur du bois (revêtements muraux, plinthes, parquets…) et n’infeste intégralement les lieux.

Se sustentant de bois, elle se propage à travers les structures maçonnées à l’aide d’un réseau très étendu : des filaments pouvant mesurer jusqu’à 10 mètres.

Symptômes d’attaque

Une attaque de mérule provoque de nombreux dégâts sur le bois :

  • Il prend une apparence brune,
  • Il s’effrite, se boursoufle et se gondole,

  • Une forte odeur de champignons s’en dégage.

Conditions de développement

  • Un taux d’humidité du bois de 22 % au minimum,
  • Une température ambiante entre 20 et 26 °C,

  • Une atmosphère confinée et obscure.

Une fois la présence de mérule détectée, vous pouvez être sûr(e) que votre habitation est contaminée et qu’un traitement de la mérule s’impose. Sans intervention, ce champignon attaque tous les éléments en bois (mobilier, charpente, plinthes, boiseries) et les murs, détériorant ainsi la structure du bâti et votre mobilier.

Comment détecter le coniophore des caves ?

Bien que moins ravageur que la mérule, le coniophore des caves est un champignon lignivore qui tire sa nourriture des matières organiques mortes. Il engendre une pourriture cubique, et ce type de champignon, composé d’hyphes, prolifère dans les creux de bois.

Symptômes d’attaque

L’aspect de ce champignon est très semblable à celui de la mérule :

  • En début de développement, il y a formation d’amas cotonneux de couleur jaune à blanchâtre,
  • Avec le temps, il prend la forme de longs filaments de couleur brun foncé.

Conditions de développement

  • Un taux d’humidité du bois de 40 % au minimum,
  • Une température ambiante optimale de 24 degrés,
  • Des lieux confinés et obscurs, tels que les caves, d’où son appellation.

Afin d’éradiquer le coniophore des caves durablement et efficacement, le mieux est de faire appel à un spécialiste des traitements fongicides.

Comment détecter la présence d’insectes xylophages ?

Les insectes parasites ont tous le même cycle de vie : naissance, reproduction, ponte d’œufs puis disparition.
S’attaquant majoritairement au bois, ils peuvent causer des dégâts matériels et structurels importants au fil du temps.

Le capricorne

Le capricorne, un coléoptère dont la taille oscille entre 10 et 20 mm, se distingue par son aspect brun à noir. Il affectionne particulièrement les bois résineux tels que le sapin, l’épicéa, le pin et le mélèze, et son cycle de développement peut s’étendre jusqu’à 11 ans.

Symptômes d’attaque

  • Bruit de grignotement des larves perceptible dans le calme,
  • Apparition de trous dans le bois d’un diamètre allant jusqu’à 10 mm,
  • Présence de boursouflures sur les poutres et déformation de la toiture.

Conditions de développement

  • Température ambiante optimale entre 25 et 30 °C,
  • Développement en fonction de la nature du bois et de la température.

Vous suspectez une invasion de capricornes chez vous ? Il n’y a pas de solution miracle !
Découvrez notre traitement des bois pour les éliminer de façon radicale.

Le lyctus

Tel le capricorne, le lyctus est un insecte xylophage. Sa silhouette fine et étirée arbore une teinte variant du brun rougeâtre au brun foncé, et il mesure entre 2 et 7 mm. À l’état adulte, le lyctus est capable de percer des matériaux résistants tels que le bois épais, et même le plastique.

Symptômes d’attaque

  • Apparition de trous de sortie ronds à ovales allant de 1 à 2 mm en grand nombre,
  • Une fine poussière de bois à proximité des trous de sortie.

Conditions de développement

  • Une préférence pour les essences de bois feuillues : chêne, le châtaignier, le frêne, l’érable, le cerisier,
  • Un cycle entre 8 et 12 mois selon le taux d’humidité et la température ambiante.

Vous n’arrivez pas à identifier la nature de l’insecte qui vous a envahi ?
Sollicitez notre expertise pour identifier son type et le traitement des bois le plus approprié.

La grosse vrillette

Communément appelée l’horloge de la mort, la grosse vrillette est un coléoptère brun foncé d’une longueur de 5 à 7 mm. Elle se faufile dans les maisons en volant pour y déposer ses œufs. Elle attaque aussi bien les essences feuillues que les essences résineuses, en creusant des galeries grâce à ses mandibules.

Symptômes d’attaque

  • Des trous de sortie de 2 à 4 mm,
  • De la vermoulure claire et granuleuse, plus exactement sous forme de lentilles d’un diamètre d’1 mm.

Conditions de développement

Des bois anciens et très humides (dégât des eaux, tempête, inondation, etc.)
En effet, une humidité très élevée donne lieu à des champignons favorisant leur développement puisqu’elle se nourrit à partir de l’azote qu’ils développent.

Les dégâts engendrés par la grosse vrillette sont bien plus importants que ceux des champignons.
Ainsi, il est plus facile d’en détecter la présence et d’entamer un traitement des bois à temps.

La petite vrillette

Se faisant rare dans les environnements naturels, la petite vrillette, ou vrillette domestique, a tendance à vivre près de l’humanité. Mesurant entre 2,5 et 5 mm de long, ce coléoptère peut présenter une couleur variant du jaune au brun foncé. Ses principales proies sont les arbres résineux et feuillus qu’elle attaque avec ses mandibules.

Symptômes d’attaque

  • De la vermoulure claire et farineuse.

  • Des trous de sortie de forme circulaire qui vont de 1 à 3 mm,

Conditions de développement

Tout comme la grosse vrillette, la présence de champignons favorise leur prolifération dans le bois.

Petite vrillette, grosse vrillette, lyctus, …. Tout ça ne vous dit absolument rien ?
Faites confiance à nos solutions pour la protection des bois.

Comment détecter la présence d’humidité ?

L’humidité représente une réelle menace pour la pérennité d’une maison et la santé de ses occupants.
Elle peut se présenter sous deux formes : une humidité de l’air ou une humidité des murs ou des sols.

L’humidité de l’air

De manière générale, l’humidité de l’air résulte d’une mauvaise aération dans une construction, qu’elle soit ancienne ou neuve.

Symptômes

  • Auréoles, tâches ou moisissures sur les murs ou plafonds,
  • Finitions abîmées : peinture boursouflée, plinthe déformée, fissure, etc.

Conditions de développement

L’humidité dans l’air des maisons résulte principalement de l’activité humaine à l’origine de problèmes de condensation :

  • Vapeurs en cuisine et salle de bains,
  • Respiration et transpiration,

  • Activités ménagères.

Aujourd’hui, la plupart des maisons sont très bien isolées, ce qui favorise le phénomène d’humidité de l’air en l’absence d’aération.

L’humidité dans les murs

L’humidité des murs est généralement due à des infiltrations ou à des remontées capillaires.

Symptômes

  • Auréoles, tâches ou moisissures sur les murs,

  • Décollement des finitions : peinture qui cloque, fissures sur mur…
  • Apparition de salpêtre (dépôt blanchâtre que l’on retrouve à la base des murs)

Conditions de développement

  • Infiltrations dues à des problèmes d’étanchéité des murs.

  • Remontées capillaires dues à l’absence de barrière étanche entre le sol et le bâti (surtout dans les maisons traditionnelles en pierre),

ISO TRAITEMENTS vous propose des traitements anti-humidité efficaces pour :

  • Éliminer les mauvaises odeurs et préserver la santé des occupants.
  • Préserver la structure du bâti : décollement de plâtre et d’enduit, pourriture du bois, pulvérulence des pierres,